“Je suis née en…” : Arielle Dombasle révèle enfin la vérité sur son âge, la fin du mystère !

Publié le 15 mai 2025 par: Être Heureux #etrehrx

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Depuis toujours, Arielle Dombasle cultive le mystère autour de son âge avec une élégance teintée de malice.

Mais en 2024, une petite phrase échappée au détour d’une interview a fini par lever le voile sur ce secret bien gardé, révélant une part intime d’une artiste qui se veut affranchie du temps. Arielle Dombasle a longtemps joué avec l’ambiguïté, laissant planer un voile de mystère sur sa date de naissance. À chaque apparition, elle brouillait volontairement les repères, évitant soigneusement d’aborder frontalement la question. Pourtant, en juillet 2024, lors de son passage dans l’émission La Piscine de Jordan de Luxe, une simple correction a suffi pour révéler ce que beaucoup cherchaient à deviner depuis des années.

Une révélation inattendue en pleine émission

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Alors que l’animateur mentionne, sans trop y réfléchir, que l’artiste serait arrivée à Paris en 1955, Arielle Dombasle réagit immédiatement, coupant court à la confusion : “Ah non, non, non, je suis née en 1958, donc je n’ai pas pu arriver en 1955…”. Une déclaration apparemment anodine, mais qui scelle enfin la réponse à une énigme de longue date. L’actrice et chanteuse aurait donc eu 66 ans en 2024, balayant ainsi les rumeurs persistantes la vieillissant de cinq années supplémentaires.

Une relation complexe à la notion d’âge

Dans un podcast accordé à Femmes Actuelles, l’artiste a expliqué son rejet profond de la transparence numérique autour de l’âge. “Je trouve ça absurde. L’âge est une chose complètement individuelle”, déclare-t-elle. Pour elle, il ne s’agit pas d’un chiffre figé mais d’un état d’être, d’une perception. “On a un seul âge et c’est celui qu’on porte.” À ses yeux, réduire une personne à une date de naissance, c’est l’enfermer dans une temporalité imposée, presque funéraire.

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Une confession glissée dans ses propres paroles

Pour ceux qui écoutent attentivement sa musique, cette révélation n’en était peut-être pas une. Dans l’un des titres de son album Barbiconic, Arielle Dombasle chante : “You were born in 58 like me”. Un aveu glissé entre deux couplets, en anglais, dans la pure tradition de sa poésie musicale décalée. Subtile et volontairement floue, cette confession discrète semblait vouloir répondre à la curiosité ambiante sans pour autant y céder complètement.

Une artiste en marge des conventions

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Avec l’humour qu’on lui connaît, Arielle Dombasle se décrit elle-même comme “un électron hors du temps”, sans attaches ni repères classiques. “Je n’ai pas d’enfants, je suis mon propre enfant ! Et il est très difficile à élever !”, a-t-elle confié à Femme Actuelle dans un éclat de rire. Pour elle, la vie suit un autre tempo, celui qu’elle se compose, entre excentricité assumée et refus des normes.

Suivant: « Je vous parle de ce que je vois » : Amandine Bégot cash sur les accusations visant Thomas Sotto à Télématin
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