« La réponse va pas vous plaire » : Apolline de Malherbe renvoyée dans les cordes par son invité

Publié le 4 septembre 2025 par: Être Heureux
Lors de son émission quotidienne sur BFMTV et RMC, Apolline de Malherbe a reçu Laurent Wauquiez. Entre passes d’armes sur l’avenir de la droite et critiques sur l’attitude de ses adversaires, l’échange a révélé les tensions politiques actuelles et les incertitudes entourant la stratégie des Républicains.
La journaliste n’a pas hésité à interpeller son invité : fallait-il une primaire pour désigner le futur candidat de la droite ? Laurent Wauquiez a immédiatement esquivé la réponse, préférant pointer les difficultés économiques du pays plutôt que de se projeter sur la stratégie interne de son parti. Une manière de mettre en avant la gravité des enjeux nationaux face aux querelles partisanes.
L’insistance d’Apolline de Malherbe
Face à cette pirouette, Apolline de Malherbe a relancé avec insistance, rappelant que le Rassemblement national avait déjà anticipé ses discussions stratégiques. Elle a reproché aux Républicains leur impréparation, soulignant que l’éventualité d’élections anticipées pourrait placer la droite dans une situation délicate. La journaliste a donc poussé Wauquiez à reconnaître l’urgence de clarifier sa position.
Des attaques contre ses adversaires politiques
Laurent Wauquiez a finalement déplacé le débat vers d’autres figures de la scène politique. Il a accusé certains responsables de se comporter comme des « prédateurs » profitant du chaos et du désordre. L’ancien président de la région Auvergne-Rhône-Alpes a particulièrement visé Jean-Luc Mélenchon, l’accusant de se nourrir de la confusion politique autour des dates symboliques de septembre.
Une posture de rassemblement revendiquée
En contrepoint de ses critiques, le responsable des Républicains a insisté sur son choix de défendre une approche constructive. Il affirme vouloir porter une voix de propositions et de compromis, loin de la confrontation permanente. Une stratégie qu’il présente comme singulière mais nécessaire, face à une France plongée dans l’incertitude politique et budgétaire.