Meurtre de Leslie et Kevin : ce scénario effroyable suite à “des bruits entendus dans le coffre”
Publié le 3 octobre 2024 par: Être Heureux
Deux ans après un drame qui a secoué la petite localité près de Niort, une reconstitution judiciaire est prévue pour démêler les circonstances du meurtre brutal de Leslie Hoorelbeke et Kevin Trompat.
Ce processus intervient dans un contexte de contradictions flagrantes entre les accusés, qui continuent de se rejeter mutuellement la responsabilité des actes les plus violents de cette tragique nuit.
La soirée du 26 novembre 2022 a marqué la vie de nombreux proches et amis lorsque Leslie, 22 ans, et Kevin, 20 ans, ont été sauvagement assassinés.
Leur dernière nuit devait être passée dans une maison près de Niort, mais elle s’est terminée en horreur près de la Sèvre Niortaise où leurs corps ont été initialement déposés.
Cette reconstitution cherche à clarifier chaque détail de cette nuit, espérant apporter des réponses aux nombreuses questions encore sans réponse.
Discordances et Accusations Croisées
Selon des informations du Parisien, les principaux accusés s’accusent mutuellement, rendant l’enquête particulièrement complexe.
Les parents de Leslie, Patrick Hoorelbeke et sa compagne Émilie, expriment leur détresse : « Nous avons déjà une idée assez précise de la façon dont les choses se sont passées et de la souffrance endurée par notre fille. »
Malgré la douleur, ils cherchent désespérément à comprendre les dynamiques et la chaîne de commandement qui a conduit au meurtre de leur fille.
Des Aveux Partiels et une Reconstitution Cruciale
Lors du transport des corps, des témoins ont rapporté avoir entendu des bruits dans le coffre, signalant que Leslie était encore en vie à ce moment-là.
La violence s’est ensuite intensifiée avec une trentaine de coups de poignard portés dans une aire de repos. Face à de telles atrocités, les accusés minimisent leur rôle ou rejettent la faute sur d’autres.
Un des accusés admet avoir frappé Leslie avec une pelle, tandis que les autres attaques seraient le fait de son complice.
