Ne pas tenir votre chien en laisse en balade peut vous coûter cher: voici le montant de l’amende

Publié le 30 avril 2025 par: Être Heureux #etrehrx

Avec les beaux jours, les balades en pleine nature redeviennent un plaisir partagé avec son compagnon à quatre pattes.

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Mais attention : une vieille réglementation refait surface chaque printemps, interdisant la promenade des chiens sans laisse en forêt. Les contrevenants s’exposent à une amende salée pouvant atteindre 750 euros.

Peu de propriétaires de chiens le savent, mais depuis le 15 avril et jusqu’au 30 juin, il est interdit de laisser son chien libre en forêt hors des allées balisées. Cette interdiction, bien que rarement médiatisée, ne date pas d’hier. Elle repose sur un arrêté ministériel du 16 mars 1955, toujours applicable aujourd’hui, qui vise à limiter les nuisances provoquées par les animaux domestiques dans les milieux naturels sensibles.

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Une mesure au service de la biodiversité

Cette réglementation saisonnière s’explique par des impératifs écologiques. Le printemps est une période cruciale pour la faune sauvage, marquée par la reproduction des oiseaux et la mise bas de nombreux mammifères. Laisser divaguer un chien dans ces conditions peut gravement perturber cet équilibre fragile, voire causer la destruction de nids ou l’abandon de petits.

Un chien en liberté, un danger silencieux

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Contrairement à ce que certains promeneurs pensent, un chien même « gentil » peut, par simple instinct, suivre une piste, courir derrière un animal ou aboyer bruyamment, créant ainsi un stress important dans la faune locale. D’où la sévérité de la mesure : hors des allées forestières, tout chien non tenu en laisse expose son maître à une contravention pouvant grimper jusqu’à 750 euros.

Une interdiction qui dépasse le printemps

Si la période du 15 avril au 30 juin voit cette interdiction renforcée, la divagation canine est encadrée toute l’année. Selon la loi, un chien est considéré comme en divagation s’il se trouve à plus de 100 mètres de son propriétaire ou hors de son contrôle. Cette infraction, valable dans les prés, bois, marais ou bords de rivières, peut coûter jusqu’à 150 euros même hors saison printanière.

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Préserver la nature, un devoir partagé

Au-delà de la sanction financière, le but de cette réglementation est avant tout préventif : limiter les perturbations humaines dans des zones déjà fragiles. Le printemps marque une explosion de vie, visible et invisible. Une simple négligence peut avoir des conséquences désastreuses sur des écosystèmes entiers.

Chaque année, des campagnes de sensibilisation sont menées localement pour informer les promeneurs de leurs obligations. Mais sur les réseaux sociaux ou dans les conversations informelles, beaucoup ignorent encore cette règle et s’en étonnent lorsqu’ils en découvrent les conséquences. Pourtant, le message est clair : pour continuer à profiter de la nature, il faut aussi la respecter.

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