Yonne: Un couple condamné pour avoir ôté la vie à son chien

Publié le 6 mars 2025 par: Être Heureux #etrehrx

À Auxerre, un verdict a été rendu ce mardi 4 mars, faisant suite à un acte jugé d’une « barbarie » effroyable par les parties civiles.

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Un couple a été condamné à des peines de prison pour avoir décapité leur chienne à la tronçonneuse en mai dernier, dans un contexte troublant de violences et de troubles psychiatriques. Ce cas tragique soulève de profondes questions sur la cruauté envers les animaux et les facteurs aggravants tels que l’alcoolisme et les troubles mentaux.

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Le 2 mai 2024, à Levis, Yonne, la scène macabre a été découverte par les gendarmes appelés pour une intervention sur des violences conjugales. Ils ont trouvé une chienne, un dogue argentin, poignardée et décapitée dans des conditions atroces. L’homme du couple a été condamné à 18 mois de prison avec un an de sursis probatoire, tandis que sa compagne a reçu une peine de deux ans avec les mêmes conditions de sursis.

Contexte et aveux des accusés

La femme, âgée de 31 ans et suivie pour des troubles mentaux, a admis avoir poignardé la chienne, prétendument après que celle-ci ait tué un chat. Son compagnon, un homme de 38 ans avec des antécédents de traitement pour alcoolisme et stupéfiants, a expliqué avoir décapité l’animal dans un geste de vengeance. Les deux ont affirmé avoir agi sous l’effet de l’alcool, ayant consommé une quantité significative de vodka et de bière.

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Les réactions et les conséquences légales

Le procès a suscité une vive émotion, notamment parmi les défenseurs des droits des animaux, représentés par des associations comme la Fondation Brigitte Bardot. Les avocats de la défense ont tenté de mettre en avant l’alcool et les troubles psychiatriques comme facteurs atténuants, mais ces arguments n’ont pas suffi à alléger les peines. L’avocate Marine Dujancourt a souligné la durée et la brutalité de l’acte, le qualifiant d’une cruauté sans précédent en France.

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